Poils incarnés, rougeurs, boutons, voici quelques désagréments possibles quand on se rase ou sâépile. Outre ces petites contrariétés, les rasoirs, crèmes dépilatoires, bandes de cire et autres méthodes pour enlever les poils coûtent chers et prennent du temps. Lâépilation définitive est peut-être une solution à tout cela.
Aujourdâhui, lâépilation définitive devient de plus en plus courante, elle est généralement pratiquée par soucis de confort et dâesthétique. On peut la faire chez une esthéticienne ou chez un dermatologue et il existe différentes techniques pour éradiquer les poils.
]]>La rivalité féminine â câest du classique tout pur !
Et câest comme un réflexe : les femmes se mesurent à leurs rivales comme elles se mirent dans leurs miroirs. Rivaliser, câest presque une question dâidentité ! Dâautre part, la pulsion de concurrence elle-même semble souvent faire « concurrence » à cette autre grande pulsion de la femme quâest lâamour pour un homme. Ce nâest dâailleurs pas rare quâelle lâéclipse et la supplante, et cela dâune manière si claire que dans de nombreux cas, ensemble avec la question « As-tu un copain ? », on peut demander : « As-tu une rivale ? ». Avec, aussi, cette petite explication : « Dis-moi qui est ta rivale et je te dirai qui tu es. »
]]>Marilyn Monroe sâexclamant que les diamants sont nos meilleurs amis, Julia Roberts en Pretty Woman paradant sur Sunset Boulevard après avoir dévalisé les plus belles boutiques (ah, lâeffet de baguette magique de la carte de crédit !), sans parler des coquettes extravagantes de la littérature des siècles derniers.
Les stéréotypes ne manquent pas pour nous dépeindre en dépensières incorrigibles, avides dâargent jusquâà ruiner les hommes, pauvres victimes, que nous semblons sommer de nous inonder de cadeaux. Inutile de le nier, les femmes et lâargent, câest parfois une grande histoire dâamour.
]]>La question de lâinfidélité est un problème crucial au sein dâun couple car en sâunissant à lâautre, on se donne pour la vie et les amoureux ont de bonnes raisons de se jurer fidélité.
En faisant la promesse de résister aux tentations inévitables que la vie leur présentera, lâhomme et la femme répondent à un puissant élan intérieur. Lâattrait et lâintérêt pour lâêtre aimé est tellement puissant que tous les autres partenaires possibles leur semblent ternes.
]]>Qui sont vos alliés lors d'une peine d'amour? Y a-t-il des choses à faire pour alléger la souffrance ou est-ce que le temps seul peut vous aider? Autant de questions quâon se pose lors dâune rupture sans nécessairement trouver une réponse parfaite.
Lorsque tout va bien, nous sommes dans un petit nuage et avec la rupture, on redescend sur terre et on se confronte à la réalité. Mais cette fois, la réalité nous parait dure et hostile. Â
Lors dâune rupture, 3 hypothèses peuvent être envisagée : être quitté, décider de quitter l'autre ou se quitter d'un commun accord. La détresse peut varier en fonction du type de rupture. Mais dans tous les cas, le deuil de la relation est inévitable. L'idéal est de se quitter d'un commun accord mais ce scénario est peu fréquent.
]]>Une récente étude du Bureau d'études de politique du travail et de politique sociale (BASS) concluait à la persistance dâun écart salarial non- négligeable en même temps quâà une part de discrimination effective résiduelle des femmes au niveau de leur salaire, dans lâensemble de lâéconomie suisse.
Cette étude réalisée sur mandat de lâOffice Cantonal de la Statistique et du Bureau Fédéral de lâégalité est dâautant plus pertinente quâelle ne fasse notamment pas la traditionnelle assimilation entre discrimination salariale et écart de salaire. On associe en effet souvent, par un réflexe synonymique abusif, lâinégalité de salaire a la discrimination salariale.
La vérité est que la discrimination ne représente quâune part minime dans lâécart de salaire les raisons de la persistance duquel sont en effet très complexes.
]]>Le shopping !! Un des plus grand cliché de notre société, qui soit disant différencie les femmes des hommes. Celles-ci seraient de grandes consommatrices, notamment lorsquâelles vont faire du shopping.
Avant même dâessayer de comprendre les raisons, il faut remettre les points sur les « i », et signaler à tout un chacun, quâil sâagit dâune partie des femmes, mais que certaines ont en horreur le shopping, et que cet élan prend sous son aile certains hommes, eux aussi.
Il y a plusieurs raisons qui poussent les femmes à faire du shopping. Les suivantes seront évidemment non exhaustives et proposent simplement une possible réflexion sur le sujet.
Commençons par ce qui est vestimentaire
]]>Jâai une amie qui⦠(oui, je sais, câest ainsi que démarrent les pires histoires⦠mais soyez rassurés, cette amie existe vraiment, et elle nâa pas de problème sexuel inavouable â du moins, pas que je sache). Jâai donc une amie qui fait partie dâune grande fratrie : six enfants, dont quatre sÅurs. Elle est formidable, cette amie.
Ses souvenirs dâenfance, à eux seuls, valent toute la collection du Club des Cinq (ou serait-ce Six ?!)⦠Je pourrais lâécouter pendant des heures, et ressors toujours de nos conversations avec une espèce de nostalgie mêlée dâenvie en imaginant le lien si fort qui lâunit à ses sÅurs. Vous savez, le genre de jalousie quâon éprouvait, enfants, en lisant Les Quatre filles du Docteur March ? Ou bien étais-je la seule dans ce cas ?!
]]>Lâhomme et la femme attestent des réactions bien différentes face à des situations émotionnelles identiques. Ainsi, la jalousie, la joie, la tristesse, la déception, la colère ne sont pas ressenties avec le même degré dâintensité par les deux sexes.
Ces états de secrète tourmente intérieure mais qui peuvent aussi sâextérioriser en manifestations corporelles très concrètes, sont de loin plus caractéristiques des femmes que des hommes. Ils peuvent aller de la panique liée au sentiment de perdre tout contrôle sur les choses à lâétouffement qui le plus souvent nâest quâune somatisation de lâangoisse intérieure.
Ils peuvent faire correspondre à un trouble psychique conçu comme une sensation de chute libre parmi les êtres et les choses (nous nous référons à S. Kirkegaard) â un vertige très concret et qui finit par provoquer un « véritable » mal de tête.
]]>La différence entre lâhomme et la femme est une réalité que même notre modernité parfois très portée sur lâ« unisex » nâest pas près de nier. Cette différence sâexprime dans de nombreux domaines dont celui des réactions émotionnelles.
Lâhomme et la femme attestent en effet des réactions bien différentes face à des situations émotionnelles identiques. La joie, la tristesse, la déception, la colère ne sont pas ressenties avec le même degré dâintensité par les deux sexes.
Si nous jugeons de lâexpression que prend par exemple le dépit respectivement chez les femmes et chez les hommes et si nous choisissons dâen rendre compte avec lâimage de la neige, on peut dire que câest la fureur féminine qui présente une tendance au ramollissement, à la liquéfaction tandis que celle des hommes tend, elle, à la glaciation, au durcissement.
]]>En Suisse, les femmes gagnent 18.4 % de moins que les hommes. Elles doivent donc travailler jusqu'au 7 mars pour toucher le salaire qu'un homme a atteint au 31 décembre.
Selon l'enquête Suisse sur la structure des salaires (Office fédéral de la statistique) le salaire médian des femmes est de 18.4 % inférieur à celui des hommes. Les femmes gagnent moins - non parce qu'elles fournissent de moindres prestations - mais parce qu'elles sont moins bien payées pour le même travail. A noter que les hauts salaires sont marqués par un écart plus important.
]]>Alors que tout le monde se précipite dans les salles obscures pour découvrir le nouveau film de Tate Taylor, La couleur des sentiments (The Help en version originale), moi, je me bouche les oreilles et je plonge dans le roman qui lâa inspiré.
Comme je lâavais fait pour Un jour, de David Nicholls, je retrouve mon habitude chérie de faire le chemin en sens inverse, préférant ignorer, pour quelques temps encore, les visages que le cinéaste a voulu donner aux personnages de cette brique de plus de cinq cents pages.
]]>Jâai la désagréable, mais très nette, impression dâêtre devenue une peste. Ou du moins, une fille que je nâaimerais pas⦠Je ne sais pas comment câest arrivé, depuis combien de temps cela couvait, si câest là pour rester. Je crois bien que je suis égoïste.
Tout a commencé en rentrant dâune longue journée de boulot, lorsque jâai vu le regard de ma colocâ qui ne sâétait visiblement pas trop amusée au travail.
Bien sûr, je lui ai demandé comment sâétait passée sa journée, je ne suis pas un monstre non plus ! Bien sûr, jâattendais la réponse standard, un « bien » marmonné mollement, ou tout au plus un « bof » un peu vague⦠Bien sûr, je nâai rien entendu de tout cela cette fois-ci.
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