tribunes romandes - Spotlight TRIBUNES ROMANDES est un quotidien suisse proposant des articles thématiques sur des sujets d’actualité nationale et internationale. http://tribunes-romandes.ch/spolight 2016-06-02T18:55:46+00:00 Joomla! - Open Source Content Management Entretien avec Natascha Sapey du festival Antigel 2013-01-11T08:13:27+00:00 2013-01-11T08:13:27+00:00 http://tribunes-romandes.ch/newsletter/644-entretien-avec-natascha-sapey-du-festival-antigel Nicolas-Emilien Rozeau [email protected] <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/20130111--antigel.jpg" border="0" width="400" height="200" style="float: left;" />Natascha Sapey, vous étiez l’attachée de presse pour l’édition 2012 du festival Antigel. Aujourd’hui pour la 3ème édition de cette manifestation, vous êtes responsable des bénévoles.</p> <p style="text-align: justify;">Ce <em>safari culturel</em> se déroule du 26 janvier au 10 février 2013 dans 20 communes genevoises et St-Julien-en-genevois. Combien de bénévoles sont nécessaires pour que le festival se déroule dans de bonnes conditions ?</p> </div> <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/20130111--antigel.jpg" border="0" width="400" height="200" style="float: left;" />Natascha Sapey, vous étiez l’attachée de presse pour l’édition 2012 du festival Antigel. Aujourd’hui pour la 3ème édition de cette manifestation, vous êtes responsable des bénévoles.</p> <p style="text-align: justify;">Ce <em>safari culturel</em> se déroule du 26 janvier au 10 février 2013 dans 20 communes genevoises et St-Julien-en-genevois. Combien de bénévoles sont nécessaires pour que le festival se déroule dans de bonnes conditions ?</p> </div> Interview d’Yves Paudex à propos de son ouvrage : Histoires presque vraies de la Secrètes paru aux éditions Cabédita 2012-12-14T06:46:28+00:00 2012-12-14T06:46:28+00:00 http://tribunes-romandes.ch/newsletter/641-interview-d’yves-paudex-à-propos-de-son-ouvrage-histoires-presque-vraies-de-la-secrètes-paru-aux-éditions-cabédita Romain Wanner, rédacteur en chef TRIBUNES ROMANDES [email protected] <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/Yves-Paudex.jpg" border="0" width="250" style="float: left;" />Yves Paudex, ancien commissaire de police vaudois, a écrit un recueil de nouvelles ou plutôt d'histoires de flics inédites, car racontée jusqu'à ce jour entre policiers. Certaines anecdotes ont été vécues par l'auteur, d'autres sont issues du bouche à oreille. Drôle, très vaudois, parfois touchant, cet ouvrage décrit une police que le citoyen ne connaît peut-être pas, une police parfois gaffeuse, une police à visage humain.</p> </div> <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/Yves-Paudex.jpg" border="0" width="250" style="float: left;" />Yves Paudex, ancien commissaire de police vaudois, a écrit un recueil de nouvelles ou plutôt d'histoires de flics inédites, car racontée jusqu'à ce jour entre policiers. Certaines anecdotes ont été vécues par l'auteur, d'autres sont issues du bouche à oreille. Drôle, très vaudois, parfois touchant, cet ouvrage décrit une police que le citoyen ne connaît peut-être pas, une police parfois gaffeuse, une police à visage humain.</p> </div> Interview d’Audrey Martinenq, Responsable de l’analyse des politiques éducatives à Aide et Action International à propos de la journée mondiale du climat le 8 décembre 2012-12-06T05:24:52+00:00 2012-12-06T05:24:52+00:00 http://tribunes-romandes.ch/newsletter/634-interview-d’audrey-martinenq,-responsable-de-l’analyse-des-politiques-éducatives-à-aide-et-action-international-à-propos-de-la-journée-mondiale-du-climat-le-8-décembre Romain Wanner, rédacteur en chef TRIBUNES ROMANDES [email protected] <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/20121206-AM-pour-AEAI.jpg" border="0" width="250" height="181" style="float: left;" /><strong>Tribunes Romandes</strong>  Vous avez récemment publié le rapport « Coup de chaud sur l’éducation » qui décrit l’influence des changements climatiques sur l’éducation. Quel lien existe-t-il entre le réchauffement climatique et l’éducation ?</p> </div> <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/20121206-AM-pour-AEAI.jpg" border="0" width="250" height="181" style="float: left;" /><strong>Tribunes Romandes</strong>  Vous avez récemment publié le rapport « Coup de chaud sur l’éducation » qui décrit l’influence des changements climatiques sur l’éducation. Quel lien existe-t-il entre le réchauffement climatique et l’éducation ?</p> </div> Entretien avec Alexandra de Pfyffer, Architecte d'intérieur, par Nicolas Emilien Rozeau 2012-09-20T04:14:08+00:00 2012-09-20T04:14:08+00:00 http://tribunes-romandes.ch/newsletter/615-entretien-avec-alexandra-de-pfyffer,-architecte-d-intérieur,-par-nicolas-emilien-rozeau Nicolas-Emilien Rozeau [email protected] <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/20120920--pfiffer.jpg" border="0" height="250" style="float: left;" />Pour l’écrivain que je suis rencontrer des artistes et des personnes passionnées par l’art ou les arts est une grande aventure. Retranscrire les mots, les passions, les émotions, les visions, les couleurs et l’énergie de ces personnes a été une histoire formidable doublée d’un exercice de style peu commun. Toutes ces rencontres ont été riches d’enseignement et de partage. Merci à toutes ces personnes généreuses et d’une humanité profonde et sincère d’avoir accepté de me rencontrer le temps d’un été.</p> <p style="text-align: justify;">Ma traversée dans l’univers des Arts s’achève avec Alexandra de Pfyffer.</p> </div> <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/20120920--pfiffer.jpg" border="0" height="250" style="float: left;" />Pour l’écrivain que je suis rencontrer des artistes et des personnes passionnées par l’art ou les arts est une grande aventure. Retranscrire les mots, les passions, les émotions, les visions, les couleurs et l’énergie de ces personnes a été une histoire formidable doublée d’un exercice de style peu commun. Toutes ces rencontres ont été riches d’enseignement et de partage. Merci à toutes ces personnes généreuses et d’une humanité profonde et sincère d’avoir accepté de me rencontrer le temps d’un été.</p> <p style="text-align: justify;">Ma traversée dans l’univers des Arts s’achève avec Alexandra de Pfyffer.</p> </div> Entretien avec Reto Baroni, par Nicolas-Emilien Rozeau 2012-07-25T04:10:16+00:00 2012-07-25T04:10:16+00:00 http://tribunes-romandes.ch/newsletter/599-entretien-avec-reto-baroni,-par-nicolas-emilien-rozeau Nicolas-Emilien Rozeau [email protected] <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/20120725- reto baroni.jpg" border="0" height="250" style="float: left;" />1- Reto Baroni, qu’est-ce qui vous a amené à la photographie ? Y’a t-il eu un moment clef dans votre parcours qui vous a donné la certitude que la photographie allait rythmer votre existence ?<br />Je photographie la Femme et je suis spécialisé en beauté, bijoux portés et fine-Art. La photographie ne rythme pas ma vie ; elle fait partie de ma vie. Je cherche à "construire" des instants d'émotion que je capture par la photographie. J'aime travailler avec un modèle, créer cette émotion, la pétrir, la façonner, lui donner corps. Comme une sculpture qui surgit de la glaise ou de la pierre brute.</p> </div> <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/20120725- reto baroni.jpg" border="0" height="250" style="float: left;" />1- Reto Baroni, qu’est-ce qui vous a amené à la photographie ? Y’a t-il eu un moment clef dans votre parcours qui vous a donné la certitude que la photographie allait rythmer votre existence ?<br />Je photographie la Femme et je suis spécialisé en beauté, bijoux portés et fine-Art. La photographie ne rythme pas ma vie ; elle fait partie de ma vie. Je cherche à "construire" des instants d'émotion que je capture par la photographie. J'aime travailler avec un modèle, créer cette émotion, la pétrir, la façonner, lui donner corps. Comme une sculpture qui surgit de la glaise ou de la pierre brute.</p> </div> Interview de Celina Ramsauer, chanteuse, auteur et compositrice valaisanne 2012-06-20T04:12:47+00:00 2012-06-20T04:12:47+00:00 http://tribunes-romandes.ch/newsletter/573-entretien-avec-celina-ramsauer,-chanteuse-valaisanne Romain Wanner, rédacteur en chef TRIBUNES ROMANDES [email protected] <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><strong><img src="images/19873_296796964692_1436255_n.jpg" border="0" height="250" style="float: left;" />Tribunes Romandes</strong> Pourquoi avoir appelé votre dernier album « Ensemble » ?</p> <p style="text-align: justify;"><strong>Celina Ramsauer</strong> Je l’ai appelé « Ensemble », parce qu’il résume mes trente ans de parcours artistique et aussi parce qu’il représente la richesse de la diversité. Le mélange, c’est quelque chose qui me tient à cœur et cet album qui comprend vingt-et-un artistes différents, tous rôles confondus, est significatif dans le sens où c’est un grand rassemblement dans lequel chacun et chacune, à travers sa diversité, peut amener quelque chose et ainsi former un tout. Le résultat, c’est cet album.</p> <p style="text-align: justify;">Mais « Ensemble », c’est aussi un titre, né en 2003, qui a engendré un concept sur la diversité. En hommage à la francophonie, nous avons encouragé les jeunes artistes des cinq continents à reprendre ce titre, à le transformer en fonction de leur culture artistique pour ainsi faire étal de la diversité francophone dans le monde.</p> </div> <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><strong><img src="images/19873_296796964692_1436255_n.jpg" border="0" height="250" style="float: left;" />Tribunes Romandes</strong> Pourquoi avoir appelé votre dernier album « Ensemble » ?</p> <p style="text-align: justify;"><strong>Celina Ramsauer</strong> Je l’ai appelé « Ensemble », parce qu’il résume mes trente ans de parcours artistique et aussi parce qu’il représente la richesse de la diversité. Le mélange, c’est quelque chose qui me tient à cœur et cet album qui comprend vingt-et-un artistes différents, tous rôles confondus, est significatif dans le sens où c’est un grand rassemblement dans lequel chacun et chacune, à travers sa diversité, peut amener quelque chose et ainsi former un tout. Le résultat, c’est cet album.</p> <p style="text-align: justify;">Mais « Ensemble », c’est aussi un titre, né en 2003, qui a engendré un concept sur la diversité. En hommage à la francophonie, nous avons encouragé les jeunes artistes des cinq continents à reprendre ce titre, à le transformer en fonction de leur culture artistique pour ainsi faire étal de la diversité francophone dans le monde.</p> </div> La Vengeance de la Vouivre 2012-06-15T04:34:11+00:00 2012-06-15T04:34:11+00:00 http://tribunes-romandes.ch/newsletter/569-la-vengeance-de-la-vouivre R. P [email protected] <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/image002.jpg" border="0" width="172" height="250" style="float: left;" />La Vouivre, dragon ailé avec une longue queue, sillonne le ciel les nuits de pleine lune ou les nuits d’orage. Sur son front brille un énorme rubis, l’escarboucle, appelé aussi «l’œil de la Vouivre». D’après une légende, ce dragon se transforme, certaines nuits, en une jeune femme très belle, à la longue chevelure rousse, pour se baigner dans les eaux glacées de la rivière La Loue. Elle dépose alors sur la berge son escarboucle. Malheur au promeneur qui tente de s’emparer du bijou. La naïade redevient dragon et massacre le voleur…</p> <p style="text-align: justify;"><br />Or, une nuit de l’an 1347, un chevalier s’approche de la jolie baigneuse. Ce n’est pas l’escarboucle qui l’attire, mais la femme. Et pour la première fois, celle-ci se trouble et ressent un étrange sentiment. Alors qu’il s’apprête à la toucher, une flèche fend l’air et lui perce le cœur. Bouleversée, la femme se penche sur la victime… Quand elle relève la tête, elle s’aperçoit que son escarboucle a disparu.</p> </div> <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/image002.jpg" border="0" width="172" height="250" style="float: left;" />La Vouivre, dragon ailé avec une longue queue, sillonne le ciel les nuits de pleine lune ou les nuits d’orage. Sur son front brille un énorme rubis, l’escarboucle, appelé aussi «l’œil de la Vouivre». D’après une légende, ce dragon se transforme, certaines nuits, en une jeune femme très belle, à la longue chevelure rousse, pour se baigner dans les eaux glacées de la rivière La Loue. Elle dépose alors sur la berge son escarboucle. Malheur au promeneur qui tente de s’emparer du bijou. La naïade redevient dragon et massacre le voleur…</p> <p style="text-align: justify;"><br />Or, une nuit de l’an 1347, un chevalier s’approche de la jolie baigneuse. Ce n’est pas l’escarboucle qui l’attire, mais la femme. Et pour la première fois, celle-ci se trouble et ressent un étrange sentiment. Alors qu’il s’apprête à la toucher, une flèche fend l’air et lui perce le cœur. Bouleversée, la femme se penche sur la victime… Quand elle relève la tête, elle s’aperçoit que son escarboucle a disparu.</p> </div> Entretien avec Alexandre Abyla, peintre 2012-05-18T05:16:05+00:00 2012-05-18T05:16:05+00:00 http://tribunes-romandes.ch/newsletter/527-entretien-avec-alexandre-abyla,-peintre Thierry Dime, Directeur de publication [email protected] <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><strong><img src="images/Interview/portrait-abyla.jpg" border="0" width="196" height="250" style="border: 0pt none; float: left;" /></strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Tribunes Romandes</strong> Spécialisé dans la réalisation de fresques, on remarque qu’en toile de fond de vos œuvres, l’humain est toujours au centre. Pourquoi ?</p> <p style="text-align: justify;"><strong>Alexandre Abyla</strong> J’aimerais juste préciser que je suis spécialisé dans la réalisation de fresques, trompe l’œil et reproductions de tableau depuis 24 ans. Mes tableaux personnels, que je peins depuis 4 ans me représentent. Ils représentent l’être humain pour une signification bien précise, pour ce qu’ils  dégagent à travers une émotion et un sentiment. C’est pourquoi le personnage, l’humain est toujours au centre de mes tableaux, c’est a travers le corps et le visage que l’on exprime tous nos sentiments.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>Tribunes Romandes</strong> Votre travail mélange des recherches de forme et d’émotion. Quelle est votre source d’inspiration ?</p> </div> <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><strong><img src="images/Interview/portrait-abyla.jpg" border="0" width="196" height="250" style="border: 0pt none; float: left;" /></strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Tribunes Romandes</strong> Spécialisé dans la réalisation de fresques, on remarque qu’en toile de fond de vos œuvres, l’humain est toujours au centre. Pourquoi ?</p> <p style="text-align: justify;"><strong>Alexandre Abyla</strong> J’aimerais juste préciser que je suis spécialisé dans la réalisation de fresques, trompe l’œil et reproductions de tableau depuis 24 ans. Mes tableaux personnels, que je peins depuis 4 ans me représentent. Ils représentent l’être humain pour une signification bien précise, pour ce qu’ils  dégagent à travers une émotion et un sentiment. C’est pourquoi le personnage, l’humain est toujours au centre de mes tableaux, c’est a travers le corps et le visage que l’on exprime tous nos sentiments.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>Tribunes Romandes</strong> Votre travail mélange des recherches de forme et d’émotion. Quelle est votre source d’inspiration ?</p> </div> Entretien avec Carlos Leal, acteur et rappeur suisse 2012-05-16T05:09:58+00:00 2012-05-16T05:09:58+00:00 http://tribunes-romandes.ch/newsletter/524-entretien-avec-carlos-leal,-acteur-et-rappeur-suisse Romain Wanner, rédacteur en chef TRIBUNES ROMANDES [email protected] <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><strong><img src="images/Interview/20120516-carlos-leal.jpg" border="0" alt="Carlos Leal par Kevin Hey" title="Carlos Leal par Kevin Hey" width="300" style="float: left; border: 0pt none;" />Tribunes Romandes</strong> Quelle a été votre démarche pour passer du monde de la musique à celui du cinéma ?</p> <p style="text-align: justify;">Avec le rap, j’ai appris que la voix pouvait être porteuse d’émotions et puis, grâce aux vidéo-clips de Sens Unik, j’avais déjà la possibilité de me familiariser avec la caméra. En 2000, j’ai commencé par faire du théâtre à Lausanne puis, je suis monté à Paris pour y suivre des cours à "l’Actors Studio". Je me suis alors intéressé aux jeunes réalisateurs suisses et français afin de jouer des rôles dans leurs courts-métrages. C’est ainsi que j’ai pu me constituer une bande-démo qui m’a permis de trouver un agent et m’a donné accès au monde assez " fermé" des castings.</p> </div> <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><strong><img src="images/Interview/20120516-carlos-leal.jpg" border="0" alt="Carlos Leal par Kevin Hey" title="Carlos Leal par Kevin Hey" width="300" style="float: left; border: 0pt none;" />Tribunes Romandes</strong> Quelle a été votre démarche pour passer du monde de la musique à celui du cinéma ?</p> <p style="text-align: justify;">Avec le rap, j’ai appris que la voix pouvait être porteuse d’émotions et puis, grâce aux vidéo-clips de Sens Unik, j’avais déjà la possibilité de me familiariser avec la caméra. En 2000, j’ai commencé par faire du théâtre à Lausanne puis, je suis monté à Paris pour y suivre des cours à "l’Actors Studio". Je me suis alors intéressé aux jeunes réalisateurs suisses et français afin de jouer des rôles dans leurs courts-métrages. C’est ainsi que j’ai pu me constituer une bande-démo qui m’a permis de trouver un agent et m’a donné accès au monde assez " fermé" des castings.</p> </div> Marchands de rêve 2012-05-10T16:35:40+00:00 2012-05-10T16:35:40+00:00 http://tribunes-romandes.ch/newsletter/516-marchands-de-rêve R. P [email protected] <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/delhi-232.jpg" border="0" width="188" height="250" style="float: left;" />Si a priori rien ne les prédisposait à partir pour un voyage au long cours, c’est pourtant cette idée folle qu’ils ont décidé de suivre en cet été de 2007. Pas de besoin fondamental de changer d’air, pas de ras-le-bol du quotidien, mais davantage l’envie de parcourir ces milliers de kilomètres annuels sur d’autres routes, sous d’autres latitudes ; ce désir de tout arrêter pendant une année ; de dépenser leur argent ailleurs, autrement ; de troquer le steak-frites pour des saveurs plus épicées ; de remettre en perspective leurs habitudes confortables ; de prendre du temps ensemble ; de mettre tout simplement du piment sur leurs tartines !</p> </div> <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/delhi-232.jpg" border="0" width="188" height="250" style="float: left;" />Si a priori rien ne les prédisposait à partir pour un voyage au long cours, c’est pourtant cette idée folle qu’ils ont décidé de suivre en cet été de 2007. Pas de besoin fondamental de changer d’air, pas de ras-le-bol du quotidien, mais davantage l’envie de parcourir ces milliers de kilomètres annuels sur d’autres routes, sous d’autres latitudes ; ce désir de tout arrêter pendant une année ; de dépenser leur argent ailleurs, autrement ; de troquer le steak-frites pour des saveurs plus épicées ; de remettre en perspective leurs habitudes confortables ; de prendre du temps ensemble ; de mettre tout simplement du piment sur leurs tartines !</p> </div> Accident de personne, d'Anne-Frédérique Rochat 2012-05-04T04:06:56+00:00 2012-05-04T04:06:56+00:00 http://tribunes-romandes.ch/newsletter/505-accident-de-personne,-d-anne-frédérique-rochat R. P [email protected] <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/444blog.jpg" border="0" width="150" height="220" style="float: left; border-image: initial; border: 1px solid black;" />Le premier roman d’une auteure dramatique et comédienne lausannoise</p> <p style="text-align: justify;">Le roman</p> <p style="text-align: justify;">Mes yeux ne voient plus l’intérieur des choses, ils ne voient plus à travers. 0ù est passé le jaune qu’il y avait dans le vert ? Et toutes les couleurs qui sulbimaient le gris ?<br />Charline, une jeune femme peintre, perd le goût de créer, le goût d’aimer, le goût de vivre. Elle croit le retrouver en s’immisçant dans la famille de Viviane, une ancienne camarade de classe qui vient de mourir, en essayant de combler le manque que celle-ci a laissé derrière elle, au risque de sa propre identité.</p> </div> <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/444blog.jpg" border="0" width="150" height="220" style="float: left; border-image: initial; border: 1px solid black;" />Le premier roman d’une auteure dramatique et comédienne lausannoise</p> <p style="text-align: justify;">Le roman</p> <p style="text-align: justify;">Mes yeux ne voient plus l’intérieur des choses, ils ne voient plus à travers. 0ù est passé le jaune qu’il y avait dans le vert ? Et toutes les couleurs qui sulbimaient le gris ?<br />Charline, une jeune femme peintre, perd le goût de créer, le goût d’aimer, le goût de vivre. Elle croit le retrouver en s’immisçant dans la famille de Viviane, une ancienne camarade de classe qui vient de mourir, en essayant de combler le manque que celle-ci a laissé derrière elle, au risque de sa propre identité.</p> </div> « Psychiatrie, la vérité sur ses abus » 2012-04-13T04:44:57+00:00 2012-04-13T04:44:57+00:00 http://tribunes-romandes.ch/newsletter/483-«-psychiatrie,-la-vérité-sur-ses-abus-» la rédaction [email protected] <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/13042012--ccdh.jpg" border="0" width="300" height="119" style="float: left;" />Genève – Après 18 haltes en Europe en une année, Genève est la prochaine ville qui accueillera l'exposition itinérante « Psychiatrie, la vérité sur ses abus », dont le but est de présenter la véritable histoire de la psychiatrie et d’apporter un éclairage nouveau et complet sur la question du respect des droits de l'homme en<br />psychiatrie. </div> <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/13042012--ccdh.jpg" border="0" width="300" height="119" style="float: left;" />Genève – Après 18 haltes en Europe en une année, Genève est la prochaine ville qui accueillera l'exposition itinérante « Psychiatrie, la vérité sur ses abus », dont le but est de présenter la véritable histoire de la psychiatrie et d’apporter un éclairage nouveau et complet sur la question du respect des droits de l'homme en<br />psychiatrie. </div> "J'ai rêvé d'un rouge" : recueil de poèmes d'Orchydia 2012-04-13T04:29:07+00:00 2012-04-13T04:29:07+00:00 http://tribunes-romandes.ch/newsletter/482-j-ai-rêvé-d-un-rouge-recueil-de-poèmes-d-orchydia la rédaction [email protected] <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/att24a89.jpg" border="0" title="&quot;J'ai rêvé d'un rouge&quot; : recueil de poèmes d'Orchydia" height="250" style="float: left; border-image: initial; border: 1px solid black;" />Quand les entrepreneurs développent leur créativité, il peut surgir d'étonnantes surprises.<br />C'est le cas d'Anne-Catherine Pozza, fondatrice et directrice d'Orchydia Coaching. Elle publie son premier recueil de poèmes érotiques, « J’ai rêvé d’un rouge ».<br /><br />Sous le pseudonyme d'Orchydia, elle vous dévoile une prose poétique où s'épanchent Eros et Aphrodite, deux archétypes de l'Amour pour éclairer vos jours... et surtout vos nuits.<br /><br />La couverture est signée <a href="http://www.tatieva.weonea.com/">Tatieva</a>, artiste peintre, dont les demoiselles légèrement vêtues ravissent nos sens. On se glisse dans cette lecture, comme dans des draps de satin, avec bonheur et volupté. On rougit peut-être, mais toujours avec élégance, parce qu'Orchydia sait dire le phrasé d'une hanche avec la délicatesse du coeur.</p> </div> <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/att24a89.jpg" border="0" title="&quot;J'ai rêvé d'un rouge&quot; : recueil de poèmes d'Orchydia" height="250" style="float: left; border-image: initial; border: 1px solid black;" />Quand les entrepreneurs développent leur créativité, il peut surgir d'étonnantes surprises.<br />C'est le cas d'Anne-Catherine Pozza, fondatrice et directrice d'Orchydia Coaching. Elle publie son premier recueil de poèmes érotiques, « J’ai rêvé d’un rouge ».<br /><br />Sous le pseudonyme d'Orchydia, elle vous dévoile une prose poétique où s'épanchent Eros et Aphrodite, deux archétypes de l'Amour pour éclairer vos jours... et surtout vos nuits.<br /><br />La couverture est signée <a href="http://www.tatieva.weonea.com/">Tatieva</a>, artiste peintre, dont les demoiselles légèrement vêtues ravissent nos sens. On se glisse dans cette lecture, comme dans des draps de satin, avec bonheur et volupté. On rougit peut-être, mais toujours avec élégance, parce qu'Orchydia sait dire le phrasé d'une hanche avec la délicatesse du coeur.</p> </div> « La légende de Little Eagle » de Florian Rochat 2012-01-19T09:14:15+00:00 2012-01-19T09:14:15+00:00 http://tribunes-romandes.ch/newsletter/376-«-la-légende-de-little-eagle-»-de-florian-rochat Caroline Baud, rédactrice TRIBUNES ROMANDES [email protected] <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/florian_rochat_120124.gif" border="0" title="Florian Rochat" height="250" style="float: right;" />Alors qu’il effectue en 1999 une recherche pour « Cougar corridor », son précédent roman, Florian Rochat tombe, dans un petit musée du Montana, sur une lettre postée de France en 1947. Elle témoigne du comportement héroïque d’un très jeune pilote américain, qui s’était sacrifié durant la guerre pour éviter que son avion tombe sur une maison, dans un petit village de Champagne.</p> <p style="text-align: justify;">Douze ans plus tard, l’auteur a une idée : une femme d’aujourd’hui découvre une copie de cette missive, comprend que c’est grâce à ce pilote que sa mère, âgée de quatre ans à l’époque, a pu vivre… et donc plus tard lui donner la vie. Cette femme d’aujourd’hui doit donc sa vie à  ce pilote d’autrefois.</p> </div> <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/florian_rochat_120124.gif" border="0" title="Florian Rochat" height="250" style="float: right;" />Alors qu’il effectue en 1999 une recherche pour « Cougar corridor », son précédent roman, Florian Rochat tombe, dans un petit musée du Montana, sur une lettre postée de France en 1947. Elle témoigne du comportement héroïque d’un très jeune pilote américain, qui s’était sacrifié durant la guerre pour éviter que son avion tombe sur une maison, dans un petit village de Champagne.</p> <p style="text-align: justify;">Douze ans plus tard, l’auteur a une idée : une femme d’aujourd’hui découvre une copie de cette missive, comprend que c’est grâce à ce pilote que sa mère, âgée de quatre ans à l’époque, a pu vivre… et donc plus tard lui donner la vie. Cette femme d’aujourd’hui doit donc sa vie à  ce pilote d’autrefois.</p> </div> « Chroniques onusiennes et autres aventures » de Nicolas-Emilien Rozeau 2011-12-15T16:51:05+00:00 2011-12-15T16:51:05+00:00 http://tribunes-romandes.ch/newsletter/333-«-chroniques-onusiennes-et-autres-aventures-»-de-nicolas-emilien-rozeau la rédaction [email protected] <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/nicolas_rozeau_111223.jpg" border="0" title="« Chroniques onusiennes&quot; de Nicolas-Emilien Rozeau " height="250" style="float: right;" />Voici un ouvrage « nomade » qu’on ne saurait où classer quand on est libraire ! Ne vous fiez pas au titre, ce n’est ni un livre politique ni un récit de voyage, c’est bien plus que ça !...</p> <p style="text-align: justify;">En cinq chapitres, l’auteur nous fait part de son regard profond sur le monde, notre civilisation, ou de ses réflexions sur l’art, la poésie, la musique ou sur les sites de rencontres. Un regard « nomade », personnel, plein d’humour, empreint d’un style littéraire et poétique : « Les yeux fermés, la nuit de l’incertain danse dans la ronde de la cohérence d’un interprète de génie. Va-et-vient de puissance et de tendresse, de pause et de silence, de blanche et de noire, d’élan et de retenue, de violence et de douceur… »</p> <p style="text-align: justify;">On se laisse emporter par les mots et, telles des notes sous les mains d’un musicien, la partition se déroule sous notre regard. Elle nous emporte tantôt au fond de nous-mêmes, tantôt sur la simplicité du verbe « exister ». On aimerait que jamais cette mélodie ne s’arrête. On souhaiterait repousser toujours plus loin ce point final qui ne cesse de venir et de revenir.</p> </div> <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/nicolas_rozeau_111223.jpg" border="0" title="« Chroniques onusiennes&quot; de Nicolas-Emilien Rozeau " height="250" style="float: right;" />Voici un ouvrage « nomade » qu’on ne saurait où classer quand on est libraire ! Ne vous fiez pas au titre, ce n’est ni un livre politique ni un récit de voyage, c’est bien plus que ça !...</p> <p style="text-align: justify;">En cinq chapitres, l’auteur nous fait part de son regard profond sur le monde, notre civilisation, ou de ses réflexions sur l’art, la poésie, la musique ou sur les sites de rencontres. Un regard « nomade », personnel, plein d’humour, empreint d’un style littéraire et poétique : « Les yeux fermés, la nuit de l’incertain danse dans la ronde de la cohérence d’un interprète de génie. Va-et-vient de puissance et de tendresse, de pause et de silence, de blanche et de noire, d’élan et de retenue, de violence et de douceur… »</p> <p style="text-align: justify;">On se laisse emporter par les mots et, telles des notes sous les mains d’un musicien, la partition se déroule sous notre regard. Elle nous emporte tantôt au fond de nous-mêmes, tantôt sur la simplicité du verbe « exister ». On aimerait que jamais cette mélodie ne s’arrête. On souhaiterait repousser toujours plus loin ce point final qui ne cesse de venir et de revenir.</p> </div> Marche des Jeunes pour une sensibilisation aux droits de l'homme 2011-12-09T07:57:36+00:00 2011-12-09T07:57:36+00:00 http://tribunes-romandes.ch/newsletter/328-marche-des-jeunes-pour-une-sensibilisation-aux-droits-de-l-homme la rédaction [email protected] <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/yhri-human-rights-summit-t-m.jpg" border="0" width="300" height="281" style="float: left; border: 0pt none;" />L'Association Internationale des Jeunes pour les Droits de l'Homme (Youth for Human Rights International) commémore la Journée des Nations Unies pour les Droits de l'Homme le 10 décembre, avec sa troisième « Marche Internationale pour les Droits de l'Homme ». Des jeunes de tous âges, venus de plus de 30 pays et de six continents, se joindront à la marche afin de sensibiliser les citoyens à la Déclaration des Nations Unies sur les Droits de l'Homme. Une campagne de pétition est lancée, des concerts seront organisés et des centaines de supports éducatifs seront distribués.</p> <p style="text-align: justify;">Le thème de la Journée des droits de l'Homme 2011 portera sur</p> <p style="text-align: justify;">« Les médias sociaux et les Droits de l'Homme ».</p> </div> <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/yhri-human-rights-summit-t-m.jpg" border="0" width="300" height="281" style="float: left; border: 0pt none;" />L'Association Internationale des Jeunes pour les Droits de l'Homme (Youth for Human Rights International) commémore la Journée des Nations Unies pour les Droits de l'Homme le 10 décembre, avec sa troisième « Marche Internationale pour les Droits de l'Homme ». Des jeunes de tous âges, venus de plus de 30 pays et de six continents, se joindront à la marche afin de sensibiliser les citoyens à la Déclaration des Nations Unies sur les Droits de l'Homme. Une campagne de pétition est lancée, des concerts seront organisés et des centaines de supports éducatifs seront distribués.</p> <p style="text-align: justify;">Le thème de la Journée des droits de l'Homme 2011 portera sur</p> <p style="text-align: justify;">« Les médias sociaux et les Droits de l'Homme ».</p> </div> Comprendre et désamorcer la violence chez les jeunes 2011-12-01T06:33:01+00:00 2011-12-01T06:33:01+00:00 http://tribunes-romandes.ch/newsletter/310-comprendre-et-désamorcer-la-violence-chez-les-jeunes Caroline Baud, rédactrice TRIBUNES ROMANDES [email protected] <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/comprendre_violence_111201.jpg" border="0" title="Comprendre et désamorcer la violence chez les jeunes" height="250" style="float: right;" />Violaine Martinella-Grau, appointée à 80% à la gendarmerie vaudoise, a fait de son expérience de terrain un riche terreau qu'elle cultive avec passion. Psychologue du travail, formatrice pour adultes et professeur vacataire à la Haute Ecole Sociale (HES-SO Valais) de Sierre au sein de la filière sociale, elle a édité début octobre "<strong>Comprendre et désamorcer la violence chez les jeunes</strong>. Guide d'outils pratiques pour canaliser la violence." aux Editions Loisirs et Pédagogie (LEP) au Mont-sur-Lausanne.</p> <p style="text-align: justify;">Ce livre s'adresse aux parents et aux professionnels confrontés aux problèmes de violence chez les jeunes (travailleurs sociaux, enseignants, policiers, employés des transports publics, etc.).</p> </div> <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/comprendre_violence_111201.jpg" border="0" title="Comprendre et désamorcer la violence chez les jeunes" height="250" style="float: right;" />Violaine Martinella-Grau, appointée à 80% à la gendarmerie vaudoise, a fait de son expérience de terrain un riche terreau qu'elle cultive avec passion. Psychologue du travail, formatrice pour adultes et professeur vacataire à la Haute Ecole Sociale (HES-SO Valais) de Sierre au sein de la filière sociale, elle a édité début octobre "<strong>Comprendre et désamorcer la violence chez les jeunes</strong>. Guide d'outils pratiques pour canaliser la violence." aux Editions Loisirs et Pédagogie (LEP) au Mont-sur-Lausanne.</p> <p style="text-align: justify;">Ce livre s'adresse aux parents et aux professionnels confrontés aux problèmes de violence chez les jeunes (travailleurs sociaux, enseignants, policiers, employés des transports publics, etc.).</p> </div> Grave Panique : un livre du genevois Patrick Delachaux 2011-11-29T05:35:35+00:00 2011-11-29T05:35:35+00:00 http://tribunes-romandes.ch/newsletter/306-grave-panique-un-livre-du-genevois-patrick-delachaux Caroline Baud, rédactrice TRIBUNES ROMANDES [email protected] <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/grave_panique_111129.jpg" border="0" title="Grave Panique de Patrick Delachaux" width="200" height="300" style="float: left; border: 1px solid black;" /></p> <p style="text-align: justify;">Né à Genève en 1966, Yves Patrick Delachaux est romancier, scénariste, essayiste, formateur d’adulte et consultant expert de police. Cet ancien policier a publié en 2003 <strong>Flic de Quartier</strong> (éd. Zoé), son premier roman autofiction qui a été particulièrement appréciée pour la découverte d’un métier finalement bien mal connu par la société civile.</p> <p style="text-align: justify;">En 2005 il publie son deuxième roman <strong>Flic à Bangkok</strong> (éd. Zoé). Ce livre entraîne le lecteur dans une enquête en Asie du Sud-est. En 2011 Yves Patrick Delachaux publie son troisième roman <strong>Grave Panique</strong> (éd. Zoé).</p> <p style="text-align: justify;">Grave Panique est la véritable histoire de l’une des missions du policier Delachaux. Patrick, policier suisse dépêché par Europol, se trouve en Seine-Saint-Denis, département 93, dans la couronne parisienne.</p> </div> <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/grave_panique_111129.jpg" border="0" title="Grave Panique de Patrick Delachaux" width="200" height="300" style="float: left; border: 1px solid black;" /></p> <p style="text-align: justify;">Né à Genève en 1966, Yves Patrick Delachaux est romancier, scénariste, essayiste, formateur d’adulte et consultant expert de police. Cet ancien policier a publié en 2003 <strong>Flic de Quartier</strong> (éd. Zoé), son premier roman autofiction qui a été particulièrement appréciée pour la découverte d’un métier finalement bien mal connu par la société civile.</p> <p style="text-align: justify;">En 2005 il publie son deuxième roman <strong>Flic à Bangkok</strong> (éd. Zoé). Ce livre entraîne le lecteur dans une enquête en Asie du Sud-est. En 2011 Yves Patrick Delachaux publie son troisième roman <strong>Grave Panique</strong> (éd. Zoé).</p> <p style="text-align: justify;">Grave Panique est la véritable histoire de l’une des missions du policier Delachaux. Patrick, policier suisse dépêché par Europol, se trouve en Seine-Saint-Denis, département 93, dans la couronne parisienne.</p> </div> Entretien avec Louise Anne Bouchard à propos de son roman Montréal Privé 2011-10-24T07:21:38+00:00 2011-10-24T07:21:38+00:00 http://tribunes-romandes.ch/newsletter/253-louise-anne-bouchard-les-questions-qu-elle-aimerait-qu-on-lui-pose-à-propos-de-son-roman-montréal-privé Thierry Dime, Directeur de publication [email protected] <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/111015_montral_ priv-louise_anne_bouchard.jpg" border="0" title="Louise Anne Bouchard-Montréal Privé" height="250" style="float: right; border: 0px;" />Je savais que ce petit livre ne pouvait qu'être publié qu'au Québec.  D'abord parce qu'il raconte une réalité difficile à cerner pour les européens.  Dans les années soixante il a fallu se battre pour imposer la langue française dans une province composée de six millions d'habitants, entourée de vingt-trois millions de canadiens anglais et de deux cent cinquante millions d'américains. Il fallait imposer notre langue, chez nous.</p> <p style="text-align: justify;">Ce fût difficile de revenir dans la ville où j'ai grandi, après sept ans d'absence. Je n'ai pas retrouvé mes repères, j'avais l'impression que mon île avait été désertée. Je ne reconnaissais plus les rues, les cafés, et surtout, je me faisais accueillir en anglais: j'en aurais pleuré. <strong>Montréal Privé </strong>est un petit livre intimiste, une réflexion personnelle.</p> </div> <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/111015_montral_ priv-louise_anne_bouchard.jpg" border="0" title="Louise Anne Bouchard-Montréal Privé" height="250" style="float: right; border: 0px;" />Je savais que ce petit livre ne pouvait qu'être publié qu'au Québec.  D'abord parce qu'il raconte une réalité difficile à cerner pour les européens.  Dans les années soixante il a fallu se battre pour imposer la langue française dans une province composée de six millions d'habitants, entourée de vingt-trois millions de canadiens anglais et de deux cent cinquante millions d'américains. Il fallait imposer notre langue, chez nous.</p> <p style="text-align: justify;">Ce fût difficile de revenir dans la ville où j'ai grandi, après sept ans d'absence. Je n'ai pas retrouvé mes repères, j'avais l'impression que mon île avait été désertée. Je ne reconnaissais plus les rues, les cafés, et surtout, je me faisais accueillir en anglais: j'en aurais pleuré. <strong>Montréal Privé </strong>est un petit livre intimiste, une réflexion personnelle.</p> </div> Rencontre avec Alenko à propos de son nouvel album 2011-11-04T15:19:58+00:00 2011-11-04T15:19:58+00:00 http://tribunes-romandes.ch/newsletter/282-rencontre-avec-alenko-à-propos-de-son-nouvel-album Thierry Dime, Directeur de publication [email protected] <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><strong><img src="images/Interview/alenko_111104.jpg" border="0" title="Alenko" width="250" style="float: left; border: 0px;" />TRIBUNES ROMANDES</strong>  <strong>Votre dernier album est sorti le 14 février, jour de la Saint Valentin. Est-ce un album dédié aux amoureux ?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Alenko  </strong>Oui, aux amoureux de la musique.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES</strong>  <strong>Comment le public l’a-t-il reçu ?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Alenko  </strong>Très positivement et surpris car il ne m’attendait pas dans ce registre musical vu mes deux précédents albums. Je suis revenu à mes sources musicales et je ne pensais pas que mon public s’élargirait tant dans les styles que dans les différentes générations.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES</strong>  <strong>Vous êtes un des rares artistes romands à exporter sa musique dans des radios internationales. Avez-vous l’impression d’être un privilégié ?</strong></p> </div> <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><strong><img src="images/Interview/alenko_111104.jpg" border="0" title="Alenko" width="250" style="float: left; border: 0px;" />TRIBUNES ROMANDES</strong>  <strong>Votre dernier album est sorti le 14 février, jour de la Saint Valentin. Est-ce un album dédié aux amoureux ?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Alenko  </strong>Oui, aux amoureux de la musique.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES</strong>  <strong>Comment le public l’a-t-il reçu ?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Alenko  </strong>Très positivement et surpris car il ne m’attendait pas dans ce registre musical vu mes deux précédents albums. Je suis revenu à mes sources musicales et je ne pensais pas que mon public s’élargirait tant dans les styles que dans les différentes générations.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES</strong>  <strong>Vous êtes un des rares artistes romands à exporter sa musique dans des radios internationales. Avez-vous l’impression d’être un privilégié ?</strong></p> </div> Louise Anne Bouchard : Les questions qu'elle aimerait qu'on lui pose à propos de Bleu Magritte 2011-10-10T04:01:09+00:00 2011-10-10T04:01:09+00:00 http://tribunes-romandes.ch/newsletter/226-louise-anne-bouchard-les-questions-qu-elle-aimerait-qu-on-lui-pose-à-propos-de-bleu-magritte Thierry Dime, Directeur de publication [email protected] <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/111024_anne_louise_bouchard_bleu_magritte.jpg" border="0" title="Louise Anne Bouchard - Bleu magritte" height="250" style="float: right; border: 0px;" />Louise Anne Bouchard est née à Montréal et habite en Europe depuis 1991.  D'abord photographe de formation, scénariste et metteur en scène, elle a publié huit romans dont <strong>Bleu Magritte</strong> aux Éditions de l'Aire, 2010.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES R0MANDES  Vous faites encore de la photographie?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Louise Anne Bouchard </strong> Très peu. J'ai un appareil numérique mais lorsque je veux faire des portraits de ceux que j'aime, c'est encore vers ma vielle Pentax que je me tourne. Je connais cet appareil-photo par cœur. Je connais la lumière qu'il est capable d'absorber et de reproduire.  J'aime beaucoup les photographies de Bryan Adams et Sally Mann, pour les images d'un érotisme brut chez le premier et à cause de sensualité trouble, un peu glauque, qui ressort du travail de Sally Mann.</p> </div> <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/111024_anne_louise_bouchard_bleu_magritte.jpg" border="0" title="Louise Anne Bouchard - Bleu magritte" height="250" style="float: right; border: 0px;" />Louise Anne Bouchard est née à Montréal et habite en Europe depuis 1991.  D'abord photographe de formation, scénariste et metteur en scène, elle a publié huit romans dont <strong>Bleu Magritte</strong> aux Éditions de l'Aire, 2010.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES R0MANDES  Vous faites encore de la photographie?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Louise Anne Bouchard </strong> Très peu. J'ai un appareil numérique mais lorsque je veux faire des portraits de ceux que j'aime, c'est encore vers ma vielle Pentax que je me tourne. Je connais cet appareil-photo par cœur. Je connais la lumière qu'il est capable d'absorber et de reproduire.  J'aime beaucoup les photographies de Bryan Adams et Sally Mann, pour les images d'un érotisme brut chez le premier et à cause de sensualité trouble, un peu glauque, qui ressort du travail de Sally Mann.</p> </div> Entretien avec Louise Anne Bouchard à propos de son roman "Les Sans-Soleil" 2011-10-24T08:02:03+00:00 2011-10-24T08:02:03+00:00 http://tribunes-romandes.ch/newsletter/254-entretien-avec-louise-anne-bouchard-à-propos-de-son-roman-les-sans-soleil Thierry Dime, Directeur de publication [email protected] <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/111024_anne_louise_bouchard_sans_soleil.jpg" border="0" title="Louise Anne Bouchard Les sans soleil" height="250" style="float: left;" />J'ai écrit <strong>Les Sans-Soleil</strong> alors que j'habitais à Lucerne.  Malgré la beauté du Lac des Quatre-Cantons, j'avais l'impression de suffoquer, d'avoir sans cesse à lever la tête pour voir un coin du ciel. Que les détracteurs de la Suisse alémanique ne sourient pas trop: ici, à Montreux la vue que j'ai est bloquée par les montagnes.  A vous d'y lire les métaphores qui vous conviennent.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>Les Sans-Soleil</strong> c'est le roman d'une petite communauté, située dans la région de Val d'Hérens, endroit où je n'ai jamais mis les pieds.  J'avais lu en entrefilet concernant les violences faites à une jeune fille de douze ans, qu'un skieur de passage, témoin des faits,  avait fini par dénoncer. Les résidents de ce village étaient au nombre de trente-six, à majorité issue de la même famille.  On peut retrouver ce genre d'histoires aux quatre coins du monde: il suffit d'être isolé pour que l'intolérable se produise.</p> <p style="text-align: justify;">J'ai écrit ce roman en deux mois. J'écrivais quelques heures par jour, je travaillais comme traductrice, je me promenais et je dormais beaucoup. Je me suis mise dans la peau du protagoniste, marié à cette étrangère, Nina, qu'il ramène chez lui. C'était à la fois difficile et fantastique.  J'ai mis des mots sur les regards des hommes que j'ai croisés dans de minuscules villages, aux quatre coins de la planète. Je suis contente d'avoir survécu à ce roman.</p> </div> <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/111024_anne_louise_bouchard_sans_soleil.jpg" border="0" title="Louise Anne Bouchard Les sans soleil" height="250" style="float: left;" />J'ai écrit <strong>Les Sans-Soleil</strong> alors que j'habitais à Lucerne.  Malgré la beauté du Lac des Quatre-Cantons, j'avais l'impression de suffoquer, d'avoir sans cesse à lever la tête pour voir un coin du ciel. Que les détracteurs de la Suisse alémanique ne sourient pas trop: ici, à Montreux la vue que j'ai est bloquée par les montagnes.  A vous d'y lire les métaphores qui vous conviennent.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>Les Sans-Soleil</strong> c'est le roman d'une petite communauté, située dans la région de Val d'Hérens, endroit où je n'ai jamais mis les pieds.  J'avais lu en entrefilet concernant les violences faites à une jeune fille de douze ans, qu'un skieur de passage, témoin des faits,  avait fini par dénoncer. Les résidents de ce village étaient au nombre de trente-six, à majorité issue de la même famille.  On peut retrouver ce genre d'histoires aux quatre coins du monde: il suffit d'être isolé pour que l'intolérable se produise.</p> <p style="text-align: justify;">J'ai écrit ce roman en deux mois. J'écrivais quelques heures par jour, je travaillais comme traductrice, je me promenais et je dormais beaucoup. Je me suis mise dans la peau du protagoniste, marié à cette étrangère, Nina, qu'il ramène chez lui. C'était à la fois difficile et fantastique.  J'ai mis des mots sur les regards des hommes que j'ai croisés dans de minuscules villages, aux quatre coins de la planète. Je suis contente d'avoir survécu à ce roman.</p> </div> Céline Chevalier Delerce, candidate expatriée pour le parlement 2011-10-15T07:45:10+00:00 2011-10-15T07:45:10+00:00 http://tribunes-romandes.ch/newsletter/237-céline-chevalier-delerce,-candidate-expatriée-pour-le-parlement Romain Wanner, rédacteur en chef TRIBUNES ROMANDES [email protected] <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/Interview/111017-cline-chevalier-del.jpg" border="0" title="Céline Chevalier Delerce" width="300" style="float: left;" />Tout Suisse peut se porter candidat aux élections parlementaires. Qu’il réside ou non sur le territoire helvétique, il faut juste qu’il puisse voter, donc qu’il soit inscrit dans le registre des électeurs. Actuellement, c’est surtout le PS et l’UDC qui font souvent appel à ce type de candidat, mais il y en a aussi dans d’autres partis.</p> <p style="text-align: justify;">Le PDC Vaud peut se dire heureux de voir parmi ses candidats au Conseil National, une suissesse d’origine coréenne, qui a grandi à la Vallée de Joux, Céline Chevalier Delerce. Aujourd’hui, elle habite en France, là d’où vient son mari, lui-même français.</p> </div> <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/Interview/111017-cline-chevalier-del.jpg" border="0" title="Céline Chevalier Delerce" width="300" style="float: left;" />Tout Suisse peut se porter candidat aux élections parlementaires. Qu’il réside ou non sur le territoire helvétique, il faut juste qu’il puisse voter, donc qu’il soit inscrit dans le registre des électeurs. Actuellement, c’est surtout le PS et l’UDC qui font souvent appel à ce type de candidat, mais il y en a aussi dans d’autres partis.</p> <p style="text-align: justify;">Le PDC Vaud peut se dire heureux de voir parmi ses candidats au Conseil National, une suissesse d’origine coréenne, qui a grandi à la Vallée de Joux, Céline Chevalier Delerce. Aujourd’hui, elle habite en France, là d’où vient son mari, lui-même français.</p> </div> Prévention du suicide des jeunes et des enfants: qu'attend la Suisse? 2011-10-01T12:53:06+00:00 2011-10-01T12:53:06+00:00 http://tribunes-romandes.ch/newsletter/215-prévention-du-suicide-des-jeunes-et-des-enfants-qu-attend-la-suisse R. P [email protected] <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/110930-prvention-du-suicid.jpg" border="0" title="Prévention du suicide des jeunes" width="250" style="float: left; border: 0px;" />Dans un rapport qui sort aujourd’hui en France, le neuropsychiatre Boris Cyrulnik déclare que les suicides d’enfants sont plus nombreux que ne le disent les chiffres, et que des possibilités de prévention sont possibles. Le Secrétariat d’Etat à la Jeunesse, commanditaire de ce rapport, souhaite, sur cette base, lancer une campagne interministérielle de prévention.</p> <p style="text-align: justify;">Ce rapport intervient quelques semaines après l’annonce par le gouvernement français du lancement d’un « Programme national d’actions contre le suicide 2011-2014 ». En Suisse, aucune action de prévention n’est mise en place au niveau fédéral. En Suisse, le suicide est la première cause de décès des moins de 25 ans.</p> </div> <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/110930-prvention-du-suicid.jpg" border="0" title="Prévention du suicide des jeunes" width="250" style="float: left; border: 0px;" />Dans un rapport qui sort aujourd’hui en France, le neuropsychiatre Boris Cyrulnik déclare que les suicides d’enfants sont plus nombreux que ne le disent les chiffres, et que des possibilités de prévention sont possibles. Le Secrétariat d’Etat à la Jeunesse, commanditaire de ce rapport, souhaite, sur cette base, lancer une campagne interministérielle de prévention.</p> <p style="text-align: justify;">Ce rapport intervient quelques semaines après l’annonce par le gouvernement français du lancement d’un « Programme national d’actions contre le suicide 2011-2014 ». En Suisse, aucune action de prévention n’est mise en place au niveau fédéral. En Suisse, le suicide est la première cause de décès des moins de 25 ans.</p> </div> Oasis de calme, de paix et de détente 2011-07-12T11:09:46+00:00 2011-07-12T11:09:46+00:00 http://tribunes-romandes.ch/newsletter/121-oasis-de-calme,-de-paix-et-de-détente R. P [email protected] <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/110712-oasis-de-calme-de-paix-et-.jpg" border="0" title="Oasis de calme, de paix et de détente - TRIBUNES ROMANDES" width="250" style="float: left; border: 0px;" />Moments de détente sur une plage, nombreuses activités sportives ou vie nocturne font partie des activités préférées des vacanciers. Mais de nombreux hôtes recherchent, durant cette période de liberté, des moments décontractés dans un environnement calme.</p> <p style="text-align: justify;">Les spécialistes des voyages individuels Africantrails, Inditours, Sierramar, Skytours et Wettstein de Travelhouse, en Afrique du Sud ou au Sud de l’Inde, sur des îles grecques ainsi qu’à l’Ouest du Canada ou en Indonésie, font de ces désirs une réalité. </p> <p style="text-align: justify;"><strong>Suite de toile individuelle en Afrique du Sud</strong></p> <p style="text-align: justify;">Dans la réserve Makalali, à l’Ouest du parc national Kruger en Afrique du Sud, se trouve le sympathique «Garonga Safari Camp». Ce dernier propose l’aventure dans tous les sens du terme.</p> </div> <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/110712-oasis-de-calme-de-paix-et-.jpg" border="0" title="Oasis de calme, de paix et de détente - TRIBUNES ROMANDES" width="250" style="float: left; border: 0px;" />Moments de détente sur une plage, nombreuses activités sportives ou vie nocturne font partie des activités préférées des vacanciers. Mais de nombreux hôtes recherchent, durant cette période de liberté, des moments décontractés dans un environnement calme.</p> <p style="text-align: justify;">Les spécialistes des voyages individuels Africantrails, Inditours, Sierramar, Skytours et Wettstein de Travelhouse, en Afrique du Sud ou au Sud de l’Inde, sur des îles grecques ainsi qu’à l’Ouest du Canada ou en Indonésie, font de ces désirs une réalité. </p> <p style="text-align: justify;"><strong>Suite de toile individuelle en Afrique du Sud</strong></p> <p style="text-align: justify;">Dans la réserve Makalali, à l’Ouest du parc national Kruger en Afrique du Sud, se trouve le sympathique «Garonga Safari Camp». Ce dernier propose l’aventure dans tous les sens du terme.</p> </div> Sim-Kool, le trait d’union entre le 3ème âge et la jeunesse 2011-05-08T18:50:24+00:00 2011-05-08T18:50:24+00:00 http://tribunes-romandes.ch/newsletter/86-sim-kool,-le-trait-d’union-entre-le-3ème-âge-et-de-la-jeunesse Alain Sauthier, rédacteur TRIBUNES ROMANDES [email protected] <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/sim-kool-tribunes romandes.jpg" border="0" title="Sim-Kool, le trait d’union entre le 3ème âge et de la jeunesse - Tribunes Romandes" height="270" style="float: left; border: 0px;" /></p> <p style="text-align: justify;">Non, il n’y a pas fierté encore moins de triomphalisme pour mon nouveau single : «  Décalé, Genève », disait en substance Sim-Kool à l’occasion de la sortie de cette chanson qui se veut non seulement engagée mais et surtout une litanie en parfaite harmonie avec les personnes âgées ainsi que la jeunesse.<br /><br />L’avènement de cet artiste à cheval entre la tradition africaine teintée de reggae et les rythmes modernes de l’occident font de lui, la relève de Tiken Jah Facoly et du grand manitou Alpha Blondy. La dédicace de ce chef d’œuvre musicale se déroulera le 13 mai prochain en présence de journalistes, d’hommes du monde culturel et d’amis.<br /><br />L’occasion sera belle pour ce chanteur des temps modernes de communier avec ses invités sur la situation chaotique que vivent les personnes du 3ème âge en occident dont le développement atypique rime avec vie solitaire et décadence des mœurs.</p> </div> <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/sim-kool-tribunes romandes.jpg" border="0" title="Sim-Kool, le trait d’union entre le 3ème âge et de la jeunesse - Tribunes Romandes" height="270" style="float: left; border: 0px;" /></p> <p style="text-align: justify;">Non, il n’y a pas fierté encore moins de triomphalisme pour mon nouveau single : «  Décalé, Genève », disait en substance Sim-Kool à l’occasion de la sortie de cette chanson qui se veut non seulement engagée mais et surtout une litanie en parfaite harmonie avec les personnes âgées ainsi que la jeunesse.<br /><br />L’avènement de cet artiste à cheval entre la tradition africaine teintée de reggae et les rythmes modernes de l’occident font de lui, la relève de Tiken Jah Facoly et du grand manitou Alpha Blondy. La dédicace de ce chef d’œuvre musicale se déroulera le 13 mai prochain en présence de journalistes, d’hommes du monde culturel et d’amis.<br /><br />L’occasion sera belle pour ce chanteur des temps modernes de communier avec ses invités sur la situation chaotique que vivent les personnes du 3ème âge en occident dont le développement atypique rime avec vie solitaire et décadence des mœurs.</p> </div> Rencontre avec Julianah, une diva qui chante des romances et la démence du monde… 2011-04-25T12:35:19+00:00 2011-04-25T12:35:19+00:00 http://tribunes-romandes.ch/newsletter/70-rencontre-avec-julianah-une-diva-qui-chante-des-romances-et-la-demence-du-monde Christiane Seiss [email protected] <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/1- pme life-christiane-interview julianah.jpg" border="0" title="Julianah - Tribunes Romandes" height="300" style="float: left; border: 0px;" />A 3 ans et demi sa mère l’avait installée devant un piano et inscrite au Conservatoire de Lausanne. Ainsi, Françoise Dufour alias Julianah a-t-elle appris les notes de musique avant les lettres…</p> <p style="text-align: justify;">Enseignante de musique au Collège de Nyon, pour gagner sa vie ainsi que celle de sa famille, elle nourrit le rêve de chanter. Ainsi, se met-elle à composer au piano, à écrire et interpréter ses chansons. Arrive le jour de sa première entrée sur scène au Paléo Festival en 1982. Depuis, elle n’aura de cesse de se battre pour vivre de sa musique.</p> <p style="text-align: justify;">A force de persévérance, le rêve se réalise, Julianah peut enfin s’adonner entièrement à sa passion. Le résultat, la sortie d’un 3<sup>e</sup> disque avec les dernières chansons de l’auteure-compositeure-interprète dans ses multiples facettes, empruntant volontiers les arrangements pop de Raphaël Noir.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES De formation classique, vous intégrez le gospel, le jazz et la musique tzigane dans vos compositions, jusqu’à la sortie de votre dernier disque aux influences pop - avec les conseils de Raphaël Noir. On dit volontiers de vous que vous êtes un patchwork d’époques. Cela vous paraît-il juste ?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Julianah</strong> Oui, je joue Bach, Chopin, chante Jonasz, Sanson, improvise sur des Gospels, me ressource en écoutant du jazz et de la musique classique et m’intéresse aux musiques actuelles.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES Y a-t-il eu des compositeurs et/ou chanteurs qui ont influencé de façon décisive votre créativité ?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Julianah</strong> Non, je me laisse guider dans mes improvisations ; j’ai l’impression que tout mon acquis coule alors dans mes doigts.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES Suite à une carrière d’enseignante de musique, vous vous consacrez pleinement à la chanson et à votre musique. Qu’est-ce qui vous inspire pour composer?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Julianah </strong>Une histoire vécue, une phrase entendue, des souvenirs d’enfance, le problème de surpopulation de la planète, le sort fait à certaines femmes, l’espoir d’un jour nouveau etc.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES Vous avez écrit plusieurs chansons sur le thème de l’espoir, du rêve, dont celle intitulée « J’ai rêvé ». Parmi ces rêves, vous en avez caressé un, celui de chanter sur l’eau. L’avez-vous réalisé ?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Julianah</strong> Pas encore. Mais en 2012, pour mes 30 ans de chansons, il y aura une surprise…</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES Vous avouez avoir une attirance irrésistible pour la scène. Pouvez-vous expliquer ce que cela représente pour une auteure-compositeure-interprète comme vous ?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Julianah</strong> Grâce au public mes chansons existent vraiment. Sur la scène je vis des moments que je ne vis nulle part ailleurs.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES Quels conseils donneriez-vous à des jeunes désirant faire carrière dans la musique et/ou la chanson ?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Julianah</strong> N’abandonnez jamais vos rêves mais soyez conscients qu’il y a beaucoup d’appelés et peu d’élus.</p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;">Copyright © TRIBUNES ROMANDES - Tous droits réservés</p></div> <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/1- pme life-christiane-interview julianah.jpg" border="0" title="Julianah - Tribunes Romandes" height="300" style="float: left; border: 0px;" />A 3 ans et demi sa mère l’avait installée devant un piano et inscrite au Conservatoire de Lausanne. Ainsi, Françoise Dufour alias Julianah a-t-elle appris les notes de musique avant les lettres…</p> <p style="text-align: justify;">Enseignante de musique au Collège de Nyon, pour gagner sa vie ainsi que celle de sa famille, elle nourrit le rêve de chanter. Ainsi, se met-elle à composer au piano, à écrire et interpréter ses chansons. Arrive le jour de sa première entrée sur scène au Paléo Festival en 1982. Depuis, elle n’aura de cesse de se battre pour vivre de sa musique.</p> <p style="text-align: justify;">A force de persévérance, le rêve se réalise, Julianah peut enfin s’adonner entièrement à sa passion. Le résultat, la sortie d’un 3<sup>e</sup> disque avec les dernières chansons de l’auteure-compositeure-interprète dans ses multiples facettes, empruntant volontiers les arrangements pop de Raphaël Noir.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES De formation classique, vous intégrez le gospel, le jazz et la musique tzigane dans vos compositions, jusqu’à la sortie de votre dernier disque aux influences pop - avec les conseils de Raphaël Noir. On dit volontiers de vous que vous êtes un patchwork d’époques. Cela vous paraît-il juste ?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Julianah</strong> Oui, je joue Bach, Chopin, chante Jonasz, Sanson, improvise sur des Gospels, me ressource en écoutant du jazz et de la musique classique et m’intéresse aux musiques actuelles.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES Y a-t-il eu des compositeurs et/ou chanteurs qui ont influencé de façon décisive votre créativité ?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Julianah</strong> Non, je me laisse guider dans mes improvisations ; j’ai l’impression que tout mon acquis coule alors dans mes doigts.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES Suite à une carrière d’enseignante de musique, vous vous consacrez pleinement à la chanson et à votre musique. Qu’est-ce qui vous inspire pour composer?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Julianah </strong>Une histoire vécue, une phrase entendue, des souvenirs d’enfance, le problème de surpopulation de la planète, le sort fait à certaines femmes, l’espoir d’un jour nouveau etc.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES Vous avez écrit plusieurs chansons sur le thème de l’espoir, du rêve, dont celle intitulée « J’ai rêvé ». Parmi ces rêves, vous en avez caressé un, celui de chanter sur l’eau. L’avez-vous réalisé ?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Julianah</strong> Pas encore. Mais en 2012, pour mes 30 ans de chansons, il y aura une surprise…</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES Vous avouez avoir une attirance irrésistible pour la scène. Pouvez-vous expliquer ce que cela représente pour une auteure-compositeure-interprète comme vous ?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Julianah</strong> Grâce au public mes chansons existent vraiment. Sur la scène je vis des moments que je ne vis nulle part ailleurs.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES Quels conseils donneriez-vous à des jeunes désirant faire carrière dans la musique et/ou la chanson ?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Julianah</strong> N’abandonnez jamais vos rêves mais soyez conscients qu’il y a beaucoup d’appelés et peu d’élus.</p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;">Copyright © TRIBUNES ROMANDES - Tous droits réservés</p></div> Rencontre avec Ruxandra Zenide, réalisatrice 2011-04-23T14:25:47+00:00 2011-04-23T14:25:47+00:00 http://tribunes-romandes.ch/newsletter/59-rencontre-avec-ruxandra-zenide-realisatrice Fabienne Delacoste, rédactrice TRIBUNES ROMANDES [email protected] <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/1- pme life-christiane-novembre-interview ruxandra zenide-realisatrice-101107.jpg" border="0" title="Ruxandra Zenide, réalisatrice - Tribunes Romandes" width="300" style="float: left;" />Ruxandra Zenide, jeune réalisatrice et productrice roumano-suisse, a étudié le cinéma à Prague (FAMU) et à New York. Elle débute sa carrière en tant que réalisatrice et travaille parfois en tant que productrice comme ce fut le cas en 2007-2009 pour le long métrage "L'enfance d'Icare" avec Guillaume Depardieu.</p> <p style="text-align: justify;">Elle a réalisé 2 courts métrages : "Dust" primé au Festival de Locarno, ainsi que "Green Oaks" qui l'a distinguée en remportant 10 prix dont le prix Kodak du meilleur court métrage suisse - Cinéma Tout Ecran 2003. Son long métrage "Ryna" est présenté dans de nombreux festivals et remporte 8 prestigieux prix dont le "Reflet d'or et prix de la critique" - au Festival Cinéma Tout Ecran en 2005 à Genève.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES</strong> <strong>Comment votre carrière dans le cinéma a-t-elle démarré? Quelles ont été les motivations qui vous ont amenée à réaliser des courts et long métrages de fiction ?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Ruxandra Zenide </strong>J’ai un parcours « atypique ». J’ai fini l’Institut des Hautes Etudes Internationales à Genève avant d’étudier le cinéma à New York et à Prague. Je voulais confronter mon envie à la réalité. Le résultat a été concluant car mon premier court-métrage « Dust » a obtenu le prix du meilleur espoir suisse au Festival de Locarno. J’ai réalisé un deuxième court-métrage avant de faire mon long-métrage « Ryna ».</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES</strong> <strong>Quels sont les aspects les plus motivants pour vous dans les différentes étapes de la réalisation d'un film, et a contrario les plus durs ?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Ruxandra Zenide</strong> L’envie de raconter une histoire en particulier, ensuite lui donner une forme précise, la mettre dans un contexte, créer des personnages, leur donner vie…C’est un travail passionnant, mais difficile, surtout lorsque le doute s’immisce dans le processus créatif. L’étape suivante, celle du financement fait suite au travail de préparation. Quand le projet est bon, le financement suit. Le tournage est une étape qui peut s’avérer difficile. On doit jouer avec un grand nombre d’imprévus et s’adapter très vite. Il faut compter avec une petite entreprise de 40 personnes qui ne se connaissent pas mais qui doivent faire preuve d’une grande efficacité pendant 6 semaines, le temps du tournage.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES</strong> <strong>Avec le long métrage "Ryna", vous avez voulu vous adresser à un public très large comprenant plusieurs catégories d'âge. Quel(s) message(s) avez-vous souhaité faire passer ?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Ruxandra Zenide</strong> Je n’ai pas vraiment pensé à un message en particulier, j’ai surtout été motivée par une émotion universelle qui se dégageait de cette histoire. Le public de ce film est assez large, les adolescents autant que des personnes d’âge mur peuvent apprécier le film.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES</strong> <strong>Vous êtes également productrice de films et avez créé votre propre maison de production. Cela signifie-t-il la maîtrise d'un second métier qui complète celui de réalisatrice ?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Ruxandra Zenide</strong> Nous avons créé Elefant films en 2004 avec Alex Iordachescu. Ce n’est pas un autre métier, c’est un autre aspect de la création cinématographique. Les bons réalisateurs ont en principe leur propre maison de production (je parle surtout du cinéma européen). C’est en quelque sorte l’investissement qu’un auteur souhaite engager dans son projet.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES</strong> <strong>Pouvez-vous nous parler du projet de film sur lequel vous travaillez actuellement ?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Ruxandra Zenide</strong> C’est un thriller psychologique qui se passe à Genève, la deuxième partie d’une trilogie qui a commencé avec Ryna. Le tournage aura lieu en 2011.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES</strong> <strong>Que conseilleriez-vous à des jeunes désirant se lancer dans la réalisation de films ?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Ruxandra Zenide</strong> D’y aller, sans compromis et en écoutant uniquement leur petite voix intérieure.</p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;">Interview réalisée par Christiane Weiss-En collaboration avec Art Club Genève</p> <p style="text-align: justify;">Copyright © TRIBUNES ROMANDES - Tous droits réservés</p></div> <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/1- pme life-christiane-novembre-interview ruxandra zenide-realisatrice-101107.jpg" border="0" title="Ruxandra Zenide, réalisatrice - Tribunes Romandes" width="300" style="float: left;" />Ruxandra Zenide, jeune réalisatrice et productrice roumano-suisse, a étudié le cinéma à Prague (FAMU) et à New York. Elle débute sa carrière en tant que réalisatrice et travaille parfois en tant que productrice comme ce fut le cas en 2007-2009 pour le long métrage "L'enfance d'Icare" avec Guillaume Depardieu.</p> <p style="text-align: justify;">Elle a réalisé 2 courts métrages : "Dust" primé au Festival de Locarno, ainsi que "Green Oaks" qui l'a distinguée en remportant 10 prix dont le prix Kodak du meilleur court métrage suisse - Cinéma Tout Ecran 2003. Son long métrage "Ryna" est présenté dans de nombreux festivals et remporte 8 prestigieux prix dont le "Reflet d'or et prix de la critique" - au Festival Cinéma Tout Ecran en 2005 à Genève.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES</strong> <strong>Comment votre carrière dans le cinéma a-t-elle démarré? Quelles ont été les motivations qui vous ont amenée à réaliser des courts et long métrages de fiction ?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Ruxandra Zenide </strong>J’ai un parcours « atypique ». J’ai fini l’Institut des Hautes Etudes Internationales à Genève avant d’étudier le cinéma à New York et à Prague. Je voulais confronter mon envie à la réalité. Le résultat a été concluant car mon premier court-métrage « Dust » a obtenu le prix du meilleur espoir suisse au Festival de Locarno. J’ai réalisé un deuxième court-métrage avant de faire mon long-métrage « Ryna ».</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES</strong> <strong>Quels sont les aspects les plus motivants pour vous dans les différentes étapes de la réalisation d'un film, et a contrario les plus durs ?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Ruxandra Zenide</strong> L’envie de raconter une histoire en particulier, ensuite lui donner une forme précise, la mettre dans un contexte, créer des personnages, leur donner vie…C’est un travail passionnant, mais difficile, surtout lorsque le doute s’immisce dans le processus créatif. L’étape suivante, celle du financement fait suite au travail de préparation. Quand le projet est bon, le financement suit. Le tournage est une étape qui peut s’avérer difficile. On doit jouer avec un grand nombre d’imprévus et s’adapter très vite. Il faut compter avec une petite entreprise de 40 personnes qui ne se connaissent pas mais qui doivent faire preuve d’une grande efficacité pendant 6 semaines, le temps du tournage.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES</strong> <strong>Avec le long métrage "Ryna", vous avez voulu vous adresser à un public très large comprenant plusieurs catégories d'âge. Quel(s) message(s) avez-vous souhaité faire passer ?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Ruxandra Zenide</strong> Je n’ai pas vraiment pensé à un message en particulier, j’ai surtout été motivée par une émotion universelle qui se dégageait de cette histoire. Le public de ce film est assez large, les adolescents autant que des personnes d’âge mur peuvent apprécier le film.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES</strong> <strong>Vous êtes également productrice de films et avez créé votre propre maison de production. Cela signifie-t-il la maîtrise d'un second métier qui complète celui de réalisatrice ?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Ruxandra Zenide</strong> Nous avons créé Elefant films en 2004 avec Alex Iordachescu. Ce n’est pas un autre métier, c’est un autre aspect de la création cinématographique. Les bons réalisateurs ont en principe leur propre maison de production (je parle surtout du cinéma européen). C’est en quelque sorte l’investissement qu’un auteur souhaite engager dans son projet.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES</strong> <strong>Pouvez-vous nous parler du projet de film sur lequel vous travaillez actuellement ?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Ruxandra Zenide</strong> C’est un thriller psychologique qui se passe à Genève, la deuxième partie d’une trilogie qui a commencé avec Ryna. Le tournage aura lieu en 2011.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES</strong> <strong>Que conseilleriez-vous à des jeunes désirant se lancer dans la réalisation de films ?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Ruxandra Zenide</strong> D’y aller, sans compromis et en écoutant uniquement leur petite voix intérieure.</p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;">Interview réalisée par Christiane Weiss-En collaboration avec Art Club Genève</p> <p style="text-align: justify;">Copyright © TRIBUNES ROMANDES - Tous droits réservés</p></div> Béatrice Deslarzes, Médecin de profession, artiste par conviction 2011-04-25T12:51:07+00:00 2011-04-25T12:51:07+00:00 http://tribunes-romandes.ch/newsletter/72-beatrice-deslarzes-medecin-de-profession-artiste-par-conviction Christiane Seiss [email protected] <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/beatrice_deslarzes.gif" border="0" title="Béatrice Deslarzes" height="250" style="float: left;" />L’étonnant parcours de Béatrice Deslarzes « Béa». Une vie captivante due à l’originalité notoire de cette femme médecin, musicienne, mais rebelle avant tout…<strong> </strong></p> <p style="text-align: justify;">Médecin de profession, artiste par conviction, <strong>Béatrice Deslarzes</strong> est devenue une personnalité incontournable : médecin hospitalier, spécialiste en ORL et en allergologie, consultante à la prison de Champ-Dollon ; membre fondateur d’Exit Suisse Romande ; chanteuse de jazz avant de devenir « la Mamie de l’Electro » ; fondatrice et présidente de la « Fondation Béa pour Jeunes Artistes » ; et dernièrement candidate écologiste à Veyrier pour les élections municipales de mars 2011.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES</strong> <strong>A la lecture de votre livre « Rebelle malgré moi », on ne peut s’empêcher de penser : « Cette femme n’a peur de rien, tout lui réussi ! ». Avez-vous une recette, celle de la réussite - que tant de personnes souhaiteraient suivre?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Béatrice Deslarzes</strong> Il faut avoir de la ténacité, c’est à dire savoir exactement ce que l’on veut, quel est le but à atteindre et suivre cette direction sans se laisser gagner par le doute.</p> </div> <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/beatrice_deslarzes.gif" border="0" title="Béatrice Deslarzes" height="250" style="float: left;" />L’étonnant parcours de Béatrice Deslarzes « Béa». Une vie captivante due à l’originalité notoire de cette femme médecin, musicienne, mais rebelle avant tout…<strong> </strong></p> <p style="text-align: justify;">Médecin de profession, artiste par conviction, <strong>Béatrice Deslarzes</strong> est devenue une personnalité incontournable : médecin hospitalier, spécialiste en ORL et en allergologie, consultante à la prison de Champ-Dollon ; membre fondateur d’Exit Suisse Romande ; chanteuse de jazz avant de devenir « la Mamie de l’Electro » ; fondatrice et présidente de la « Fondation Béa pour Jeunes Artistes » ; et dernièrement candidate écologiste à Veyrier pour les élections municipales de mars 2011.</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES</strong> <strong>A la lecture de votre livre « Rebelle malgré moi », on ne peut s’empêcher de penser : « Cette femme n’a peur de rien, tout lui réussi ! ». Avez-vous une recette, celle de la réussite - que tant de personnes souhaiteraient suivre?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Béatrice Deslarzes</strong> Il faut avoir de la ténacité, c’est à dire savoir exactement ce que l’on veut, quel est le but à atteindre et suivre cette direction sans se laisser gagner par le doute.</p> </div> Estelle Hughes, la musique illumine ma vie 2011-04-25T12:42:46+00:00 2011-04-25T12:42:46+00:00 http://tribunes-romandes.ch/newsletter/71-estelle-hughes-la-musique-illumine-ma-vie Fabienne Delacoste, rédactrice TRIBUNES ROMANDES [email protected] <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;">Tout commence sans même que l’on ne s’en rende compte. Notre passion grandit en nous comme une plante invisible. Nous la nourrissons et elle nous nourrit. En tout cas c’est ce qui s’est passé entre le chant et moi.</p> <p style="text-align: justify;">Dans notre maison familiale au Cameroun, la musique était comme l’air que l’on respire. Du makossa arrivant du bar d’à côté aux disques de Johnny Halliday dont raffolait ma mère, des cantiques chrétiens de l’Eglise aux chants des contes racontés par mon père, les mélodies de ma vie ont toujours été multiculturelles et surtout omniprésentes car tout le monde chantait et dansait tout le temps. Et puis un jour, une de mes maîtresse d’école m’a dit que j’avais la plus belle voix de la classe.</p> <p style="text-align: justify;">Ce compliment énoncé avec naturel et le regard de l’adulte tourné vers une enfant assoiffée d’attention ont provoqué un déclic. Ma voix s’est faite angélique sur ‘à la claire fontaine m’en allant promener…’ J’avais quarante camarades de classe, cinq frère et sœurs et parmi tout ce beau monde, la chanteuse, c’était moi.</p> <p style="text-align: justify;">Aujourd’hui, le chant continue de définir qui je suis. C’est grâce à lui que j’exprime mes émotions, mes convictions, que je raconte ma vie et mes voyages. Le groupe <strong><a href="http://www.myspace.com/pososhok">pososhok</a></strong> que j’ai formé avec mon mari est le véhicule de notre idéal métis. Il est important pour moi de relayer en musique cette douce vérité si souvent malmenée : « toutes les vies humaines sur terre se valent et toutes les cultures se complètent et se répondent ».</p> <p style="text-align: justify;">Lorsque je chante j’adore mélanger les styles, les langues, les rythmes pour voyager et faire voyager. On retrouve dans ‘odyssey’, l’album de Pososhok tellement de langues : du zulu (Afrique du Sud), du bafia (Cameroun), du lingala (Congo) de l’anglais, du français. Nous nous sommes amusés aussi à collectionner les genres : makossa, jazz, rock, folk, chant à capella, etc. Dans cette musique, je retrouve mes voyages en Afrique, en Inde, en Hollande, je vois également mes enfants couleur chocolat au lait et cela me convient énormément.</p> <p style="text-align: justify;">Pour cette raison, je veux partager la musique partout et avec tout le monde. A l’école où j’enseigne, je fais chanter mes élèves bien que je sois leur professeure de français et non de musique. Je fais partie de la chorale Allégria où j’ai eu la chance de découvrir le classique et le baroque. Pour finir, la dimension spirituelle du chant me manquerait s’il n’y avait pas le gospel et les chants d’Eglise grâce auxquels je prie musicalement.</p> <p style="text-align: justify;">Le chant illumine ma vie, c’est sûr. Cet art à la force de l’ubiquité et de la flexibilité. On l’emporte avec soi partout et il y a un chant pour chaque situation.</p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;">Copyright © TRIBUNES ROMANDES - Tous droits réservés</p></div> <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;">Tout commence sans même que l’on ne s’en rende compte. Notre passion grandit en nous comme une plante invisible. Nous la nourrissons et elle nous nourrit. En tout cas c’est ce qui s’est passé entre le chant et moi.</p> <p style="text-align: justify;">Dans notre maison familiale au Cameroun, la musique était comme l’air que l’on respire. Du makossa arrivant du bar d’à côté aux disques de Johnny Halliday dont raffolait ma mère, des cantiques chrétiens de l’Eglise aux chants des contes racontés par mon père, les mélodies de ma vie ont toujours été multiculturelles et surtout omniprésentes car tout le monde chantait et dansait tout le temps. Et puis un jour, une de mes maîtresse d’école m’a dit que j’avais la plus belle voix de la classe.</p> <p style="text-align: justify;">Ce compliment énoncé avec naturel et le regard de l’adulte tourné vers une enfant assoiffée d’attention ont provoqué un déclic. Ma voix s’est faite angélique sur ‘à la claire fontaine m’en allant promener…’ J’avais quarante camarades de classe, cinq frère et sœurs et parmi tout ce beau monde, la chanteuse, c’était moi.</p> <p style="text-align: justify;">Aujourd’hui, le chant continue de définir qui je suis. C’est grâce à lui que j’exprime mes émotions, mes convictions, que je raconte ma vie et mes voyages. Le groupe <strong><a href="http://www.myspace.com/pososhok">pososhok</a></strong> que j’ai formé avec mon mari est le véhicule de notre idéal métis. Il est important pour moi de relayer en musique cette douce vérité si souvent malmenée : « toutes les vies humaines sur terre se valent et toutes les cultures se complètent et se répondent ».</p> <p style="text-align: justify;">Lorsque je chante j’adore mélanger les styles, les langues, les rythmes pour voyager et faire voyager. On retrouve dans ‘odyssey’, l’album de Pososhok tellement de langues : du zulu (Afrique du Sud), du bafia (Cameroun), du lingala (Congo) de l’anglais, du français. Nous nous sommes amusés aussi à collectionner les genres : makossa, jazz, rock, folk, chant à capella, etc. Dans cette musique, je retrouve mes voyages en Afrique, en Inde, en Hollande, je vois également mes enfants couleur chocolat au lait et cela me convient énormément.</p> <p style="text-align: justify;">Pour cette raison, je veux partager la musique partout et avec tout le monde. A l’école où j’enseigne, je fais chanter mes élèves bien que je sois leur professeure de français et non de musique. Je fais partie de la chorale Allégria où j’ai eu la chance de découvrir le classique et le baroque. Pour finir, la dimension spirituelle du chant me manquerait s’il n’y avait pas le gospel et les chants d’Eglise grâce auxquels je prie musicalement.</p> <p style="text-align: justify;">Le chant illumine ma vie, c’est sûr. Cet art à la force de l’ubiquité et de la flexibilité. On l’emporte avec soi partout et il y a un chant pour chaque situation.</p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;">Copyright © TRIBUNES ROMANDES - Tous droits réservés</p></div> Rencontre avec Eduardo Kohan, un saxophoniste 2011-04-23T14:30:11+00:00 2011-04-23T14:30:11+00:00 http://tribunes-romandes.ch/newsletter/60-rencontre-avec-eduardo-kohan-un-saxophoniste Fabienne Delacoste, rédactrice TRIBUNES ROMANDES [email protected] <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/eduardo_kohan.gif" border="0" title="Eduardo Kohan" height="250" style="float: left;" />Eduardo Kohan est né à Buenos Aires en 1949 et habite Genève depuis 1976. Il joue régulièrement en concert en Europe et en Amérique latine, compose pour le cinéma, la télévision, le théâtre, la danse contemporaine et enseigne le saxophone, l’harmonie, l’improvisation et l’histoire du tango à Genève. En concert solo il joue avec des mots (Borges, Pizarnik, Pollini, Juarroz, poètes argentins) et des sons (Arolas, Piazzolla, Gardel, Kohan, compositeurs argentins).</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES Vous êtes devenu un saxophoniste reconnu tant par le public que par les médias. Qu'est-ce qui vous a motivé à faire carrière dans la musique ?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Eduardo Kohan</strong> J’ai commencé mes études musicales tout petit mais j’ai su que j’allais devenir musicien quand j’ai découvert le jazz et l’improvisation, qui sont à mon avis ce qu'il y a de plus amusant dans la musique, et peut-être dans la vie.</p> <p style="text-align: justify;">Improviser, c'est avant tout inventer, imaginer, créer sur l'instant. Et pour que le discours ou l'histoire sonore soient cohérents, fluides, expressifs, émotifs, il faut un travail immense, énorme, gigantesque... L'improvisation est un langage... Il faut des années de pratique avant de pouvoir s'exprimer librement, sans effort... Le travail de toute une vie…</p> </div> <div class="feed-description"><p style="text-align: justify;"><img src="images/eduardo_kohan.gif" border="0" title="Eduardo Kohan" height="250" style="float: left;" />Eduardo Kohan est né à Buenos Aires en 1949 et habite Genève depuis 1976. Il joue régulièrement en concert en Europe et en Amérique latine, compose pour le cinéma, la télévision, le théâtre, la danse contemporaine et enseigne le saxophone, l’harmonie, l’improvisation et l’histoire du tango à Genève. En concert solo il joue avec des mots (Borges, Pizarnik, Pollini, Juarroz, poètes argentins) et des sons (Arolas, Piazzolla, Gardel, Kohan, compositeurs argentins).</p> <p style="text-align: justify;"><strong>TRIBUNES ROMANDES Vous êtes devenu un saxophoniste reconnu tant par le public que par les médias. Qu'est-ce qui vous a motivé à faire carrière dans la musique ?</strong></p> <p style="text-align: justify;"><strong>Eduardo Kohan</strong> J’ai commencé mes études musicales tout petit mais j’ai su que j’allais devenir musicien quand j’ai découvert le jazz et l’improvisation, qui sont à mon avis ce qu'il y a de plus amusant dans la musique, et peut-être dans la vie.</p> <p style="text-align: justify;">Improviser, c'est avant tout inventer, imaginer, créer sur l'instant. Et pour que le discours ou l'histoire sonore soient cohérents, fluides, expressifs, émotifs, il faut un travail immense, énorme, gigantesque... L'improvisation est un langage... Il faut des années de pratique avant de pouvoir s'exprimer librement, sans effort... Le travail de toute une vie…</p> </div>